Qu'est-ce qu'il leur faut !

En février 2022, une femme venue porter plainte pour agression sexuelle, a eu la surprise d'entendre le policier l'injurier dans un message vocal qu’il lui avait laissé par erreur, croyant avoir raccroché son téléphone.  Elle a porté plainte mais « la présidente du tribunal de police a considéré que le fait, pour un policier, de dire à une femme agressée sexuellement 'grosse pute', n’était pas une injure à caractère sexiste. » Il a donc été relaxé.

On est au-delà de l'impunité de la police, et on comprend mieux pourquoi si peu de victimes portent plainte. Il n'est pas interdit de se demander au passage ce qui se serait passé dans le cas contraire...